
EN BREF
- L’immunologiste canadien et chercheur en vaccins Byram Bridle, Ph.D., a obtenu de l’agence de réglementation japonaise l’accès à l’étude de biodistribution de Pfizer. Une recherche, inédite, démontre un énorme problème avec tous les vaccins contre le COVID-19
- Les concepteurs de vaccins sont partis du principe que l’ARNm contenu dans les vaccins resterait principalement dans et autour du site de vaccination. Les données de Pfizer, cependant, montrent que l’ARNm et la protéine Spike qui en découle sont largement distribués dans l’organisme en quelques heures
- Il s’agit d’un problème grave, car il a été démontré que la protéine Spike est une toxine qui provoque des dommages cardiovasculaires et neurologiques. Elle présente également une toxicité pour la reproduction et les données de Pfizer sur la biodistribution montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes
- Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Lorsque cela se produit, les plaquettes peuvent s’agglutiner, ce qui entraîne la formation de caillots sanguins, et / ou provoquer des saignements anormaux
- Les documents de Pfizer soumis à l’Agence européenne des médicaments montrent également que la société n’a pas respecté les pratiques de gestion de la qualité conformes aux normes industrielles lors des études toxicologiques précliniques et que des études clés n’ont pas respecté les normes de bonnes pratiques de laboratoire
Par le Dr. Mercola
Plus nous en apprenons sur les vaccins contre le COVID-19, plus ils semblent mauvais. Lors d’une récente interview avec Alex Pierson (ci-dessus), l’immunologiste canadien et chercheur en vaccins Byram Bridle, docteur en médecine, a lâché une bombe de vérité choquante qui est immédiatement devenue virale, malgré la censure de Google.
Celle-ci a également fait l’objet d’une vérification des « faits » par le Politifact de l’Institut Poynter, qui a déclaré que les conclusions de Bridle étaient « fausses » après avoir interrogé le Dr Drew Weissman, un scientifique de l’Université de Pennsylvanie qui a contribué à la création de la technologie permettant aux vaccins à ARNm contre le COVID de fonctionner. Mais, comme vous pouvez le voir ci-dessous, contrairement à Byram Bridle, Politifact a négligé d’aller au-delà de l’interview d’une personne ayant un si grand intérêt dans le succès du vaccin.
En 2020, Byram Bridle a reçu une subvention gouvernementale de 230 000 dollars pour la recherche sur le développement du vaccin contre le COVID. Dans le cadre de cette recherche, il a demandé, avec une équipe de scientifiques internationaux, à l’agence de réglementation japonaise d’accéder à l’étude de biodistribution de Pfizer en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA). Une recherche, inédite, démontre un énorme problème avec tous les vaccins contre le COVID-19.
« Nous avons fait une grosse erreur », indique Byram Bridle. « Nous pensions que la protéine Spike était un excellent antigène cible. Nous ne savions pas que la protéine Spike elle-même était une toxine et une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine. »
Cette toxine, note Byram Bridle, peut causer des dommages cardiovasculaires et l’infertilité, une affirmation reprise par des chercheurs comme Stephanie Seneff, Ph.D. et Judy Mikovits, Ph.D., que j’ai interviewées sur ces questions.
Une protéine Spike toxique pénètre dans la circulation sanguine
L’hypothèse sur laquelle les concepteurs de vaccins ont travaillé est que l’ARNm des vaccins (ou l’ADN dans le cas des vaccins de Johnson & Johnson et d’AstraZeneca) resterait principalement dans et autour du site de vaccination, c’est-à-dire votre muscle deltoïde, avec une petite quantité drainée dans les ganglions lymphatiques locaux.
Les données de Pfizer, cependant, montrent que ce n’est pas du tout le cas. En utilisant de l’ARNm programmé afin de produire la protéine luciférase, ainsi que de l’ARNm avec un marqueur radioactif, Pfizer a montré que la majorité de l’ARNm reste initialement près du site d’injection, mais qu’en quelques heures, il est largement distribué dans l’organisme.
Nous savons depuis longtemps que la protéine Spike est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle entre dans la circulation. ~ Dr Byram Bridle
L’ARNm entre dans la circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine Spike se déplace également vers le cœur, le cerveau et les poumons, où des hémorragies ou des caillots sanguins peuvent se produire, et elle est expulsée dans le lait maternel.
C’est un problème, car au lieu de donner l’ordre à vos cellules musculaires de produire la protéine Spike (l’antigène qui déclenche la production d’anticorps), la protéine Spike est en fait produite à l’intérieur des parois de vos vaisseaux sanguins et de divers organes, où elle peut faire beaucoup de dégâts.
« C’est la première fois que les scientifiques peuvent voir où vont ces ARN messagers (ARNm) après la vaccination », a expliqué Byram Bridle à Alex Pierson.
« Peut-on supposer qu’elle reste dans le muscle de l’épaule ? La réponse courte est : absolument pas. C’est très déconcertant … Nous savons depuis longtemps que la protéine Spike est une protéine pathogène.
C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle pénètre dans la circulation … La protéine Spike à elle seule est presque entièrement responsable des dommages causés au système cardiovasculaire, si elle entre dans la circulation. »
La protéine Spike est le problème
En effet, depuis de nombreux mois, nous savons que les pires symptômes du COVID-19 sévère, notamment les problèmes de coagulation sanguine, sont causés par la protéine Spike du virus. En tant que tel, il semblait vraiment risqué de demander aux cellules du corps de produire la chose même qui cause de graves problèmes.
Byram Bridle cite des recherches montrant que des animaux de laboratoire auxquels on a injecté directement dans leur sang la protéine Spike purifiée du SARS-CoV-2 ont développé des problèmes cardiovasculaires et des lésions cérébrales.
L’hypothèse selon laquelle la protéine Spike n’entrerait pas dans le système circulatoire fut une « grave erreur », selon Byram Bridle, qui qualifie les données japonaises de « preuve évidente » que le vaccin, et la protéine Spike qu’il produit, pénètre dans la circulation sanguine et s’accumule dans les organes vitaux. Byram Bridle cite également des recherches récentes montrant que la protéine Spike est restée dans le sang des humains pendant 29 jours.
Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme l’explique Byram Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent survenir :
- Elle peut provoquer l’agglutination des plaquettes : les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent les saignements. Lorsqu’un vaisseau sanguin est endommagé, elles s’agglutinent pour former un caillot. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au COVID-19 et aux vaccins
- Cela peut provoquer des saignements anormaux
- Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
- Dans votre cerveau, cela peut causer des dommages neurologiques
Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre le COVID-19 ne doivent absolument pas donner leur sang, étant donné que le vaccin et la protéine Spike sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels.
Les femmes qui allaitent doivent également savoir que le vaccin et la protéine Spike passent dans le lait maternel, ce qui pourrait être mortel pour leur bébé. Vous ne transférez pas d’anticorps. Vous transférez le vaccin lui-même, ainsi que la protéine Spike, ce qui pourrait entraîner des saignements et/ou des caillots sanguins chez votre enfant. Tout ceci suggère également que pour les personnes présentant un faible risque de COVID-19, les enfants et les adolescents en particulier, les risques de ces vaccins dépassent largement les bénéfices.
La protéine Spike est une arme biologique
Lors de mon entretien avec Stephanie Seneff et Judy Mikovits (voir le lien hypertexte précédent), elles ont toutes deux souligné que le principal danger (tant avec le COVID-19 qu’avec les vaccins) est la protéine Spike elle-même. Cependant, si la protéine Spike dans le virus est mauvaise, la protéine Spike que votre corps produit en réponse au vaccin est bien pire. Pourquoi ?
Parce que l’ARNm synthétique du vaccin a été programmé pour ordonner à vos cellules de produire une protéine Spike non naturelle, génétiquement modifiée. Des altérations spécifiques la rendent beaucoup plus toxique que celle du virus lui-même. Judy Mikovits va jusqu’à qualifier la protéine Spike d’arme biologique, car il s’agit d’un agent pathogène qui démolit l’immunité innée et épuise la capacité de vos cellules tueuses naturelles (NK) à déterminer quelles cellules sont infectées et lesquelles ne le sont pas.
En bref, lorsque vous recevez le vaccin contre le COVID-19, on vous injecte un agent qui donne l’ordre à votre corps de produire l’arme biologique dans ses propres cellules. C’est aussi diabolique que possible.
Dans son article intitulé « Worse Than The Disease: Reviewing Some Possible Unintended Consequences of mRNA Vaccines Against COVID-19 », publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research en collaboration avec le Dr Greg Nigh, Stephanie Seneff explique pourquoi la protéine Spike non naturelle est si problématique.
En résumé, normalement, la protéine Spike d’un virus s’effondre sur elle-même et tombe dans la cellule une fois qu’elle s’est fixée au récepteur ACE2. La protéine Spike induite par le vaccin ne le fait pas. Au lieu de cela, elle reste ouverte et attachée au récepteur de l’ACE2, le désactivant ainsi et causant une foule de problèmes qui entraînent des déficiences cardiaques, pulmonaires et immunitaires.
De plus, comme le code de l’ARN a été enrichi de guanines (Gs) et de cytosines (Cs) supplémentaires et configuré comme s’il s’agissait d’une molécule d’ARN messager humain prête à produire une protéine par l’ajout d’une queue polyA, la séquence d’ARN de la protéine Spike dans le vaccin semble être à la fois en partie bactérienne, en partie humaine et en partie virale.
Il existe également des preuves suggérant que la protéine Spike du SARS-CoV-2 pourrait être un prion, ce qui est une autre très mauvaise nouvelle, en particulier en ce qui concerne la protéine Spike induite par le vaccin. Les prions sont des protéines membranaires et, lorsqu’elles se replient mal, elles forment des cristaux dans le cytoplasme, ce qui entraîne une maladie à prions.
Comme l’ARNm des vaccins a été modifié pour produire de très grandes quantités de protéines Spike (bien supérieures à celles du virus lui-même), le risque d’accumulation excessive dans le cytoplasme est élevé. Et, comme la protéine Spike ne pénètre pas dans la membrane de la cellule, il y a un risque élevé qu’elle devienne problématique si elle fonctionne effectivement comme un prion.
Rappelez-vous que la recherche citée par Byram Bridle au début de cet article a révélé que la protéine Spike s’accumule dans la rate, entre autres endroits. La maladie de Parkinson est une maladie à prions dont l’origine remonte à des prions provenant de la rate, qui remontent ensuite vers le cerveau via le nerf vague. De la même manière, il est tout à fait possible que les vaccins contre le COVID-19 favorisent la maladie de Parkinson et d’autres maladies humaines à prion comme la maladie d’Alzheimer.
Quelles sont les solutions ?
Bien que tout cela soit très problématique, il existe une aide. Comme l’a noté Judy Mikovits, les remèdes aux maladies qui pourraient se développer après la vaccination sont les suivants :
Les traitement à l’hydroxychloroquine et à l’ivermectine. L’ivermectine semble particulièrement prometteuse car elle se lie réellement à la protéine Spike. Je vous invite à écouter l’interview que Brett Weinstein a réalisée avec le Dr Pierre Kory, l’un des collaborateurs du Dr Paul Marik |
Un traitement antirétroviral à faible dose pour rééduquer votre système immunitaire |
Des interférons à faible dose, comme Paximune, mis au point par le Dr Joe Cummins, chercheur sur les interférons, pour stimuler votre système immunitaire |
Le peptide T (un inhibiteur d’entrée du VIH dérivé de la protéine d’enveloppe du VIH gp120. Il bloque la liaison et l’infection des virus qui utilisent le récepteur CCR5 pour infecter les cellules) |
Le cannabis, pour renforcer les voies de l’interféron de type I |
La diméthylglycine ou bétaïne (triméthylglycine) pour améliorer la méthylation, supprimant ainsi les virus latents |
La silymarine ou chardon marie pour aider à nettoyer le foie |
De mon point de vue, je crois que la meilleure chose que vous puissiez faire est de renforcer votre système immunitaire inné. Pour ce faire, vous devez assouplir votre métabolisme et optimiser votre alimentation. Vous devrez également vous assurer que votre taux de vitamine D est optimisé entre 60 et 80 ng/m (100 à 150 nmol/l), idéalement en vous exposant au Soleil. La lumière du Soleil a également d’autres bienfaits que la production de vitamine D.
Mangez sur un temps limité et prenez tous vos repas de la journée dans une fenêtre de six à huit heures. Évitez toutes les huiles végétales et les aliments transformés. Privilégiez les aliments certifiés bio pour minimiser votre exposition au glyphosate et consommez beaucoup d’aliments riches en soufre pour garder vos mitochondries et vos lysosomes en bonne santé. Tous deux sont importants pour l’élimination des débris cellulaires, y compris ces protéines Spike. Vous pouvez également augmenter votre taux de sulfate en prenant des bains de sel d’Epsom.
Pour lutter contre la toxicité des protéines Spike, vous voudrez optimiser l’autophagie, ce qui peut contribuer à digérer et à éliminer les protéines Spike. Une alimentation limitée dans le temps stimulera l’autophagie, tandis que le sauna, qui stimule les protéines de choc thermique, contribuera à replier les protéines mal repliées et à marquer les protéines endommagées afin de les éliminer. Il est important que votre sauna soit suffisamment chaud (environ 70°C) et ne comporte pas de champs magnétiques ou électriques élevés.
Sources et Références
- Newzworldtoday.com June 2, 2021
- Politifact May 31, 2021
- Penn Medicine News December 23, 2020
- SARS-CoV-2 mRNA Vaccine BNT162 Biodistribution Study
- Trialsitenews May 28, 2021
- drmalcolmkendrick.org June 3, 2021
- F1000 Research 2017; 6: 169
- DNA and Cell Biology April 19, 2021 DOI: 10.1089/dna.2020.6453
- International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research May 10, 2021; 2(1): 38-79
- Appl Environ Microbiol. 2010 May;76(9):2846-55
- Trends Cell Biol. 2019 Mar; 29(3): 191–200
?Remerciements Philippe?
ILS savaient très bien ce qu’ILS faisaient. N’oubliez JAMAIS qui on a en face. Des criminels mondialistes eugénistes qui veulent réduire de plus de moitié la population mondiale.